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Actualisation 23 septembre 2024
La rentrée, c'est maintenant ! Rien n'est joué contre le "choc
des savoirs" :
Votre collège met en place les regroupements de niveau ou bien
les cours de français et mathématiques sont en barrettes,
présentez un vœu au CA de rentrée.
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Alertes sociales
3 juillet 2024
15 mai 2025
LETTRE OUVERTE "ALERTE SOCIALE"
À MONSIEUR LE RECTEUR DE
L’ACADÉMIE DE
NANCY-METZ
LE « CHOC DES SAVOIRS » MENACE
LA SANTÉ ET
LE BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL
DES PERSONNELS
Sur la dégradation des conditions de travail,
le SNES-FSU
propose à chaque collègue
d'écrire dans le registre santé et
sécurité au travail
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Actualisation 28 août 2024
L'intersyndicale éducation 54 (FO, Sud Educ, CGT, FSU et FCPE) a
fait campagne en fin d'année scolaire dernière pour une grève
dès les 2 et 3 septembre. Nous n'imaginions pas alors faire une
rentrée sans ministre... Cette situation inédite a-t-elle une
influence sur notre faculté à se mobiliser dès la rentrée? Nous
avons besoin de savoir dans quel état d'esprit vous êtes
actuellement.Nous vous invitons donc à participer à
l'Assemblée Générale qui aura lieu Jeudi
29 Août à 17h30 en visio (lien
ci-dessous).
Cette réunion a pour but d'évaluer nos forces, de s'organiser
pour la rentrée et les jours qui suivent, d'échanger autour des
mobilisations à venir et du contexte actuel.Votre
participation est essentielle afin de faire vivre cette
mobilisation !
Lien de connexion :
Participez à ma réunion depuis votre
ordinateur, tablette ou smartphone.
Vous pouvez aussi appeler à l'aide de votre téléphone.
Code d'accès:
317-104-269
France:
+33 187 210 241 |
Actualisation 3 juin 2024
Choc des savoirs
MAJ - état des mobilisations locales « Choc des savoirs »,
salaires, moyens...mobilisé•es au 3ème trimestre ! :
Diaporama et vadémécum officiels sur les « groupes de
besoins » :
des outils de démantèlement :
Lycée
Stop à la prépa-Seconde :
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https://www.snes.edu/article/stop-a-la-prepa-seconde/
Formation initiale
Réforme de la formation des enseignant·es et des CPE
: auto-sabordage de l'Éducation nationale
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Non au "choc des savoirs" : ce qui se joue pour chacun·e
d'entre nous
Le « Choc des savoirs », ce sont entre autres : groupes de
niveaux généralisés, caporalisation des pratiques et perte de la
liberté pédagogique, révision de l’ensemble des programmes avec
des attendus incontournables, relance des redoublements et mise
en place de parcours adaptés, DNB barrage, la création d’une
prépa-Seconde de relégation. Certaines des attaques que subit le
collège aujourd’hui, les collègues en lycée les subissent déjà
depuis la Réforme Blanquer, par exemple avec l’éclatement du
groupe classe. Nous le savons, ce sont bien toutes les
disciplines et donc tous les collègues exerçant en collège qui
vont être impacté·es, au-delà des effets néfastes du
regroupement par niveaux sur les emplois du temps de toutes et
tous. Les logiques de recours aux évaluations et certifications
externes sont déjà à l’œuvre par exemple en langues vivantes. Le
SNES-FSU combat la logique du « teach to test » et d’une
évaluation perpétuelle destinée à classer, qui crée du mal-être
chez les élèves et leur famille.
Rentrée 2023 : première attaque
contre le collège
Rappelons-nous la première des disciplines
attaquées, la technologie, il y a un an, l’annonce sans
concertation préalable de la suppression de l’enseignement de
technologie en sixième, pour soi-disant laisser place à un
dispositif « soutien-approfondissement » qui va déjà disparaître
l'an prochain sans aucun bilan. Depuis, c’est un véritable plan
social qui s’opère !
Rentrée 2024 : abandon de l’ambition d’un
collège pour toutes et tous
Pour les collègues de lettres et de
mathématiques plane la menace, dès la rentrée prochaine, de ne
plus jamais exercer leur métier de la manière dont ils le
conçoivent : en leur enlevant leur liberté pédagogique, en leur
privant de la relation forte et continue avec leurs classes sur
laquelle s’appuie leur pédagogie ! Le pilotage par les
évaluations nationales, voire internationales, définissant des
attendus au rabais par rapport aux ambitions des programmes
actuels, voire en contradiction avec certains de leurs
objectifs, placerait nos collègues face à toujours plus
d’injonctions paradoxales. Les groupes fluctuants en cours
d’année entraveraient toute progression cohérente, toute
dynamique de classe, toute stabilité pourtant indispensables à
de jeunes adolescents et adolescentes, affectant l’ensemble des
enseignements suivis au collège.
Des conséquences tous azimuts
Toutes les disciplines sont concernées
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Comment agir
Questions à poser lors des "formations"
Plan d'action intersyndical 54 à partir de mai 2024
Signer la pétition et l'appel à mobilisation
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Le SNES-FSU avec la FSU-SNUipp, le SNUEP-FSU, le
SNEP-FSU et la FSU appellent à se mobiliser contre
l’ensemble des mesures du « choc des savoirs » et
proposent un plan d’action pour agir à tous les niveaux
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Diaporama pour heure information syndicale
Au conseil d'administration : motion
Comment organiser la résistance en CA, en conseil
pédagogique, lors des demi-journées banalisées
Les formations sur les groupes de niveau en français et
mathématiques commencent à être organisées dans plusieurs
académies :
boycotter, rester mutique, poser les questions qui fâchent. Il
est possible de résister car « Nous ne trierons pas nos élèves
».
- en utilisant les documents ci-dessous (arguments contre les
regroupements de niveaux)
- en proposant ce qui existait jusqu'à présent : garder les
classes entières et prévoir des dédoublements (AP)
Au conseil école collège
argumentaire contre les regroupements de niveaux et ce que
dit la recherche sur les groupes de niveaux
Les 2 documents sont ici :
Le SNES-FSU appelle aussi à signer la pétition
intersyndicale contre le « Choc des savoirs » et à
s’inscrire dans la durée d’un plan d’action au printemps.
Autre tract vers les parents
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Affiche SNES-FSU
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Choc des savoirs : refusons le
collège de l’assignation sociale !
Tous
les éléments des projets portés par l’ancien ministre Blanquer
sont repris et renforcés dans les annonces liées au « choc des
savoirs » : le scientisme, qui fait des « neurosciences » le
censeur des contenus et des dispositifs pédagogiques ; des
manuels scolaires « officiels » afin de formater les pratiques
pédagogiques ; le numérique et l’intelligence artificielle (IA)
comme leviers de dépossession du métier enseignant ; la
caporalisation des personnels ; l’orientation de plus en plus
précoce des élèves et une sélection, guidée par une « liberté de
choix » de « parcours individuels » conditionnés par le « mérite
» ; la dislocation des collectifs de travail par l’éclatement du
groupe classe.
Après l’ère
Blanquer où il a été oublié et malmené, le collège est piloté à
vue depuis deux ans : pas de texte officiel pour préparer la
rentrée sereinement ; des expérimentations menées dans tous les
sens (surtout dans une visée néolibérale) sans bilan puis
généralisées ; une communication incessante sans avoir rien
anticipé sur la faisabilité des annonces…
Sur le
terrain, la réalité malmène personnels et élèves. Des
effectifs qui débordent, une inclusion qui maltraite tout le
monde, des personnels qui courent après le temps, la perte de
sens du métier est grande. Exit l’heure de soutien et
approfondissement en 6ème, véritable usine à gaz dans
les collèges lorrains, voici donc les groupes de niveaux en
français et mathématiques. Outre le fait que la recherche, les
expérimentations déjà menées en décrient le principe, plusieurs
questions se posent : qui prendra en charge le niveau faible (15
élèves, c’est énorme) ? Quid de l’inclusion des EBEP dont les
difficultés se concentrent en général dans ces deux matières ?
Qui sera professeur·e principal·e si on écarte les collègues de
français et de mathématiques ? On imagine la désorganisation
pour des élèves de sixième qu’on accompagne à l’entrée au
collège mais également la pression sur les personnels de la part
des familles pour faire changer leur enfant de niveau. À cela
s’ajoute la difficulté, voire l’impossibilité, de confectionner
les emplois du temps.
La
liste des mesures qui organisent le tri social est
longue : possibilité de remplacer des enseignements (la LV2 par
exemple) pour ces élèves faibles par plus de français et de
mathématiques ; découverte des métiers dès la 5ème (en dehors de
toute considération sur le développement psychologique de
l’enfant) ; refonte des programmes sur 4 compétences (français,
maths, compétences psychosociales, culture générale), évaluation
standardisée chaque année… D’un côté une individualisation pas
seulement des parcours mais aussi des enseignements (on
n’apprendrait plus ensemble), de l’autre des injonctions aux
« bonnes pratiques » pour les enseignant·es. |
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Sur le site national
enseignements artistiques
EMC
École inclusive et privé
EP
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